Commencée à Noël, la nouvelle de science-fiction aurait dû être terminée en une ou deux semaines. Je connais mon rythme d’écriture et je sais que j’aurais pu la boucler en maximum 10 jours. L’histoire était en tête depuis longtemps et il n’y avait plus qu’à l’introduire dans mon traitement de texte. Mais en voulant respecter les contraintes techniques d’un appel à texte, j’ai plus perdu du temps à découper, tronçonner, déplacer, supprimer des éléments de l’histoire. Comme j’arrivais de plus en plus à la limite imposée, j’ai décidé de faire sauter le verrou. Désolé, on demande un space opera, et j’écris un space opera ! Et le nombre de caractères, je n’en tiens plus compte. Résultat : une nouvelle qui fait un peu plus de 63.000 signes (10.000 mots) au lieu des 40.000 autorisés. La grande question est : faut-il répondre à l’appel à texte qui est focalisé sur le space opera ou envoyer la nouvelle chez un autre éditeur ?
La nouvelle a été envoyée. Elle se raccroche au space opera que je révise, mais se situe 20 ans plus tard. Donc elle peut se lire de manière isolée et donne une petite idée de quoi traite le space opera (qui entretemps a été découpé en 3 parties distinctes). Je pense que j’écrirai encore des nouvelles dans le même univers.
Le Blog science-fiction de Marc 
Est-ce que tu ne peux pas le soumettre tel quel, et s’il te demande de le raccourcir, alors basta tu le gardes pour une autre édition ?
En tout cas, faire une oeuvre, qu’il s’agisse d’écriture, de musique ou de film, et devoir l’amputer au deux tiers, c’est un peu dur…
Je suis entièrement d’accord avec toi, Paul. En fait je ne compte pas l’amputer. Par contre sur le forum de Rivière Blanche, j’ai demandé si cela valait la peine de l’envoyée. En attendant une réponse, je vais révisé la nouvelle une dernière fois. C’est bel et bien un space opera se passant dans le même univers que mon livre.
Pas grave. Envoie quand même ta nouvelle. Tu verra bien.